UN CAPITAINE DE LA FAMILLE DECAVALCANTE CONDAMNÉ À DIX ANS DE PRISON
En plaidant coupable en Décembre dernier d’avoir essayé de planifier l’assassinat d’un Soldat de la famille DeCavalcante, le Capitaine, Charles « Charlie The Hat » Stango (voir photo), n’espérait plus qu’une chose, ne pas terminer sa vie derrière les barreaux. Opérant depuis l’État du Nevada, pas très loin de Las Vegas, Charles Stango était très remonté contre un Soldat de la famille DeCavalcante, Luigi Oliveiri, qui aurait manqué de respect à l’ancien Acting Boss, désormais décédé, Francesco « Frank » Guarani. Cet assassinat il voulait le planifier avec l’aide de son fils, Anthony, un présumé membre de cette famille mafieuse, qui sera condamné par la suite à six années de prison pur trafic de drogue et d’un gang de bikers, proche des DeCavalcante. Charles Stango avait imaginé plusieurs possibilités pour assassiné Luigi Oliveiri. Le premier, consistait à jeter des grenades dans le club social de Luigi Oliveiri basé à Élizabteh. Le deuxième, consistait à simulait un cambriolage et profitait de l’occasion pour criblé de balles le Soldat la famille DeCavalcante. La troisième solution, plus radicale, était de jeter de l’acide sur son visage. Mais alors que Luigi Oliveiri, fait face à une condamnation pour une contrebande de cigarettes surtaxées, Charles Stango jouait gros cette semaine, quand il se présenta devant un juge fédéral du New-Jersey. Alors même si selon les avocats du Capitaine de la famille DeCavalcante, leur client n’a fait que « parler à un téléphone », pour le juge fédéral, Charles Stango a essayé de préparer minutieusement un meurtre crapuleux pour le compte de ses supérieurs, dont Frank Nigro, Consigliere, qui vit ses charges abandonnées il y a quelques mois. Car en de plus de préparer un assassinat par téléphone, Charles Stango, conseilla son fils sur plusieurs types de délits, comme un système d’escort qui pouvait rapporter des milliers de dollars à la famille DeCavalcante. Pour Charles Stango, son fils Anthony, devait effectuer cette opération dans un endroit qui « n’attirerait pas l’attention » des agents fédéraux, comme un entrepôt, tout en stipulant que le prix des consommations devait être raisonnable pour ne pas effrayer le client. Dans un appel téléphonique, Anthony Stango déclara que les prostituées facturaient le prix qu’elles voulaient à leur client, mais qu’elles devaient remettre par heure de présence dans les locaux, près de trois cent cinquante dollars à la famille DeCavalcante. Face à une telle volonté de nuire à la société, le juge fédéral n’hésita pas une seule seconde, et condamna le Capitaine de la famille DeCavalcante à dix années dans une prison fédérale, mettant fin très certainement à la longue carrière criminelle de Charles Stango.